À l’âge de 30 ans, Jean‑Charles Conti reçoit la foi : le monde spirituel qu’il découvre à cette époque lui semble tout aussi réel que le monde physique.
Vingt ans plus tard, il obtient une licence de philosophie et de psychologie à Nice et s’interroge sur le refus de l’université d’admettre l’existence d’un monde spirituel et donc sur sa méconnaissance assumée de ce qu’il estime être la partie fondamentale de l’être humain.
Il fait alors la connaissance de Corinne Munier, clairaudiente de naissance, qui deviendra sa compagne jusqu’à son décès prématuré en 2012, des suites d’un cancer.
Corinne communiquait avec ses frères angéliques et transcrivait leurs réponses. Jean‑Charles Conti réalise ainsi que certains Anges s’incarnent sur terre depuis toujours.
Grâce à Corinne et aux Anges, il a conçu l’idée de « démocratie directe, spirituelle‑laïque » : une réelle démocratie au sein de laquelle le pouvoir s’exerce en commun au profit du Bien commun.
Depuis cinq mille ans, les malheurs subis par les peuples sont d’origine politique et toute décision politique est, avant tout, spirituelle et morale.
Il est donc urgent de rendre aux peuples leur pouvoir souverain.
